Les Confessions d'un Roublard

[Fragor]

Bon bah voilà, je viens ici pour poster le Rp de mon Roublard. Soyez assez indulgent, mais n'hésitez pas à faire des commentaires tout de même, car à vrais dire j'ai du mal à me juger tout seul, donc...
LACHÉR D COMMS §§§

(La suite arrivera quand... Et bien quand ma plume le voudra !)


Prologue :

-Bon, t'es prêt ? Parce que là, faut pas qu'on se loupe, c'est le troisième soir de suite qu'on rentre bredouille, tout ça parce que « Monsieur » est allergique à la farine de frostiz ! Souffla méchamment Kriss.

-Oui, c'est bon, je suis prêt, et pas la peine d'en rajouter, chui allergique, chui allergique, t'avais qu'a demander à maman de choisir la bonne graine ! Râla Fragor en mettant sa cagoule.

-Idiot, tu crois toujours que les enfants se font avec les graine de tournesols affamé ? Pouffa Kriss.

-Bah oui, pourquoi, tu crois qu'on a poussé comment sinon ? Répondit ahurit Fragor

-Chuuut ! Voilà la vielle boulangère qui sort aller puiser l'eau, a mon signal tu court sans t'arrêter vers l'arrière boutique, compris ?

Tapis dans l'ombre, les deux frère tous de noire vêtu attendirent, passivement malgré l'heure tardive, que la boulangère ai passé le coin de la rue pour se jeter hors leur cachette, il coururent ensuite droit sur la petite cour qui donnait sur l'arrière boutique de la boulangerie « L'amie Frostine », une des plus réputé pour son bon pain au Frostiz croustillant sur le dessus et moelleux à l'intérieur. Une fois la petite barrière de bois atteinte, il passèrent par dessus et atterrirent dans la petite cour, Kriss ordonna à Fragor de monter la garde pendant qu'il allait voir à la porte rester entre-ouverte, si il n'y avait personne dans l'atelier...
Un rapide coup d'œil circulaire et Kriss siffla pour avertir son frère que la voie était libre, il entrèrent dans l'atelier à pas de mulou, il était immense, de nombreux fourneau ornaient toute la façade gauche, et de l'autre côté se trouvait les plans de travail déjà fariner pour éviter que la pâte à pain ne colle. Fragor sentit son nez le chatouiller, Kriss se retourna vers lui et lui fit comprendre sans un mot qu'il n'avait pas intérêt à éternuer, soudain un courant d'air fis claquer la porte, ce qui envoya en l'air toute la farine qui avait été soigneusement disposée sur les plans de travail, Fragor à son comble ne put s 'empêcher d'éternuer, très bruyamment.

-J'tavais dis de te retenir ! Bon sang d'bois ! T'as du réveiller tout le quartier, et même qu'avec un peu de chance on a la milice au trousse ! S'écria en silence Kriss.

-Désoler, mais y …

-Là voilà ! J'tavais dis qu'elle t'entendrais, viens par ici, vite ...!

La vielle boulangère alerté par le claquement de la porte sur le chemin du retour, avait accourut pour voir ce qui se tramait. La porte s'ouvrit avec un crissement à donner la chair de poule à un Sram. Dans la lumière du claire de lune on voyait la silhouette imposante d'une grosse dame, tenant à la main un rouleau à pain, elle s'écria alors :

-Qui est là ?! Montre toi avant que je ne t'assomme, sale vermine !

Elle avançait sur le parquet avec ses gros sabots, le rouleau à la main prêt à frapper n'importe quel intrus, quand tout à coup un de ses sabots glissa sur une substance verte et visqueuse ; la grosse boulangère tomba de plein nez et se cogna sur le bord d'un plan de travail, se qui produisit un fracassement sonore digne d'un kanigrous qui tombait au combat, ou une Mama Bwork, peu importe, le résultat était là.
Les deux compère sortirent de leurs cachette respective, les fours à pain, il s'y était glissé facilement, juste à temps pour que la grosse mégère ne les attrapent. Kriss lança :

-Sa alors, pour un coup de bol, s'en ai un, sur quoi elle a bien put glisser pour tomber comme ça ...?!

Fragor sonner par les événements s'agenouilla à côté de la boulangère et rapprocha sa tête de sa bouche pour entendre si elle respirais encore...

-Tient, tient, haha, je savais que tu servais pas à rien finalement ! Regarde c'est ta morve qui l'a fait glissé ! Quand t'as éternuer... Bien joué p'tit frère, haha ! Lança jovialement Kriss

- Je crois qu'elle respire encore, balbutia Fragor en tâtant le pouls de la boulangère.

-De toute façon sa change rien... lança Kriss tout en s 'éloignant.

Les deux frère était à présent à la recherche du coffre de la boutique, leur but ultime, là, ils y trouveraient ce qu'il cherche. Ils le trouvèrent dessous le comptoir, caché derrière de vieux livre de recettes, Fragor et Kriss le contemplèrent avec satisfaction, quand soudain quelque chose vînt les sortir de leurs euphorie, c'était une voix, une voix de petite fille qui criait a l'assassin, en effet elle avait découvert le corps inerte de sa grand-mère sur le plancher de chêne de l'atelier. Kriss réalisa qu'il avait commis une erreur, il sortit sa Grolex, volée quelques jours plutôt chez un célèbre horloger, et se rendit compte qu'ils avaient pris du retard sur leurs timing, ils devaient s'enfuir au plus vite, maintenant que l'alerte avait été donnée, Kriss ordonna à Fragor :

- À toi de jouer frérot, t'es le meilleur à ce jeux là, on récupère le contenu du coffre et on file en vitesse !

-Ok, je vais faire de mon mieux... lança Fragor, qui sentait que la tension montait à chaque secondes qui s'écoulait.

Il sortit alors de son sac une petite poche contenant de la poudre noir, Fragor, très concentré, en pris une poignée et la déversa sur les bords du coffre, il rangea la poudre et en ressortit une mèche, qu'il posa délicatement sur la bande de poudre. Kriss pendant ce temps là était retourné aux ateliers pour barricader toutes les entrés, mais on pouvait déjà entendre la milice tambouriner la porte de leurs lourdes haches qui broyaient le bois d'une faciliter déconcertante...

-C'est bon ! Lanca Fragor, Je l'allume quand tu veux !

-Une seconde, faut que je trouve cette fichue trappe ! Kriss était monté sur une table et tâtait le plafond à la recherche d'une ouverture. C'est bon ! Allume la mèche ! Cria Kriss.

Fragor sortit de sa poche deux silex qu'il frotta entre eux, une mince étincelle se produisit, ce qui suffit à allumer la mèche, s'en suivit un « psssssssssshhhhhhh … BOUM » la petite explosion avait suffit à arracher la petite porte métallique du coffre, Fragor, cacher non loin de là se releva et alla chercher le contenue du coffre qu'il fourra dans son sac. La porte de l'atelier était a présent sur le point de sortir de ses gonds, quelques coups de hache en plus et elle céderait aux gardes de la milice.

-Amène toi ! Faut qu'on déguerpisse de là, sinon on est cuit ! Lanca Kriss à Fragor.

Fragor, le plus petit des deux avait du mal atteindre la trappe en hauteur, il lui fallu de précieuse seconde pour arriver a s'y glissé, d'un coup la porte de l'atelier fut éjecter, elle retomba lourdement sur le plancher, en quelques secondes une dizaine de gardes envahirent la pièce, Kriss, qui avait finit de faire monter Fragor ; perché au dessus de l'atelier, il plongea la main dans le sac de Fragor et en ressorti la poche de poudre noir, « désolé les mecs, lança t-il, un sourire en coin ». Il jeta la poche qui au contact du sol explosa, les gardes furent éjecter par le souffle que produisit l'explosion. Les deux frères repartirent aussitôt et profitèrent de la confusion générale pour s'enfuir.
Ils passèrent par le grenier, crasseux et poussiéreux, il y avait d'entassé divers babioles, d'anciens journaux et même des miniatures de dragodindes de collection, Kriss toujours appâté par le gain ne put s'empêcher d'en faucher quelques unes au passages. Il traversèrent le grenier, et arrivèrent sur une petite lucarne, qu'il ouvrirent, Kriss se lança le premier, il fallait descendre sur le petit rebord et sauté sur le toit en contrebas de la maison d'à côté. Kriss passa sans problème, mais Fragor était hésitant, il avait le vertige, et les gardes commençaient à affluer autour du bâtiment.

-Vas y ne t'inquiète pas, je te rattrape, tu dois le faire, les gardes sont en bas, ils nous cherchent ! Chuchota Kriss pour ne pas alerter les gardes qui encerclaient la maison juste en dessous d'eux.

Mais avant que Fragor est pu répondre, un garde était monté dans le grenier, ils les avaient vu.

-Ici, dans le grenier ! Ils sont là ! Vite ! Cria le garde.

-Kriss ils sont là, ils vont m'avoir ! Sanglota Fragor, tremblant comme une feuille.

-Non, on peut leurs échappé, il faut que tu saute, vite, tu peux le faire ! Lança Kriss

Le garde s'était mis à courir pour atteindre Fragor, mais celui-ci enjamba la fenêtre laissa son sac encore remplis d'explosifs devant la lucarne et dis à Kriss de se couvrir la tête, le garde était seulement à quelques mètres ; dans quelques secondes il serait là, Fragor sauta juste au moment ou le garde atteignit la lucarne.

-Attention !! Cria Fragor en plein vol.

« BOUMMMM ! »
Tout le grenier explosa, le bâtiment entier s'ébranla, la vielle charpente s'écroula et tout l'atelier pris feu, les mur de pierre avait cassé sous le choc de l'explosion, les étages s'écroulèrent, il ne restait à présent de la prestigieuse boulangerie « L'amie Frostine » plus que des ruines en feu, et des gravas. Fragor et Kriss s'enfuirent en courants pour rejoindre leurs maison.
Arrivée devant, Kriss dit à Fragor :

-Sur ce coup là j'admets que t'as assuré, tu nous a sauvé p'tit frère, il pris la tête de son frère dans son bras et lui gratta la tête affectueusement.

-Lâche moi... Tu te rends compte de ce qu'on vient de faire ? Lança Fragor.

-Ba ouais, on a voler, on est Roublards, frérot, ne l'oublie pas... Dis Kriss fière de lui.

-Je parle pas de ça... Ho et puis zut, de toute façon tu es insensible à tout toi... Balbutia Fragor.

-Tu verra avec l'âge on s'y fait, de toute façon va bien falloir que tu t'y fasse, tu vas faire sa toute ta vie... Bon maintenant plus un bruit, faut pas réveillé les parents. Chuchota Kriss.

Il arrivèrent devant une grande maison bourgeoise des beaux quartiers de Bonta, tout doucement, Kriss ouvra la porte d'entrer, qui malgré lui produisit un crissement strident.

-Grrr saleté de porte, faudrait que papa la graisse... dis Kriss à vois basse

-Non, justement, sa me permet d'entendre les sales gosses qui font le mur ! Lança une voix dans la pénombre.

-Ho ! Ha, hum... Papa écoute, on a une excuse, c'est pour … Rétorqua d'une voix douce Kriss.

-Pour ta mère, je sais, hahaha, je voulais juste vous faire une blague, p'tits Roublards ! Lança jovialement le père de Kriss et Fragor

-Tu nous as fais peur papa ! Regarde, c'est exactement ce qu'elle rêvait pour son cadeaux d'anniversaire ! Fragor donne ton sac, qu'on voit à quoi sa ressem.. Kriss s'interrompit d'un seul coup et se retourna vers Fragor , Ton,... Ton.. Sac Fragor....

Fragor sortit de sa poche le bout de papier, Kriss poussa un soulagement, Fragor sourit et leur père les pris dans les bras en leurs disant :

-Je suis sûre que demain matin, elle sera ravie de savoir qu'elle détient enfin la recette secrète du pain de « L'amie Frostine » ! ...
….
...Et, entre nous, j'ai adoré le moment, ou Fragor a fais exploser la boulangerie ! Hahaha ! Un vrais Roublard !...
Et bien quoi ? Souriait leur père.

[Typhiam]

Not bad at all!

Vivement la suite!